Advil 12 heures, pour un soulagement rapide et prolongé de la douleur aiguë jusqu’à 12 heures durant1

Advil 12 heures

Grâce à sa technologie à double couche, Advil 12 heures procure un soulagement rapide et prolongé de la douleur aiguë1

Conçu selon une technologie à double couche procurant jusqu’à 12 heures de soulagement de la douleur avec un seul comprimé. Une libération immédiate pour un soulagement rapide. Une libération prolongée pour un soulagement durable1.

Une option plus commode pour les patients – un comprimé Advil 12 heures* libère la même quantité de médicament qu’un comprimé ordinaire d’ibuprofène à 200 mg pris toutes les 4 heures1.

* Les produits Advil contiennent de l’ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien1.

Molécule d’ibuprofène

Advil contient de l’ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)

L’ibuprofène est l’ingrédient actif d’Advil et d’Advil pour enfants qui soulage la douleur et atténue la fièvre. Comme tous les autres AINS, l’ibuprofène est un médicament analgésique, antipyrétique et anti-inflammatoire1.

Données/graphique illustrant le profil de tolérabilité digestive

Profil de tolérabilité globale et digestive

Tolérabilité comparative de l’ibuprofène dans le cadre d’un essai clinique à répartition aléatoire d’envergure

Au cours de l’étude PAIN, dont le rapport a été publié dans la revue Clinical Drug Investigation et à laquelle ont participé plus de 8500 patients, l’ibuprofène a affiché le profil de tolérabilité globale suivant1,2 :

  • Profil statistiquement équivalent à celui de l’acétaminophène
  • Profil supérieur à celui de l’acide acétylsalicylique (AAS)

Cet essai d’envergure à répartition aléatoire comparant des doses d’AAS, d’acétaminophène et d’ibuprofène en vente libre auprès de 8677 adultes a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables importants liés à la tolérabilité. Le paramètre d’évaluation principal était le nombre de patients ayant subi au moins un effet indésirable important, défini comme une manifestation grave, sévère ou modérée ayant nécessité une deuxième consultation d’un médecin ou l’arrêt du traitement, ou dont l’intensité n’était pas précisée. L’analyse statistique visait à déterminer l’équivalence entre l’ibuprofène et l’acétaminophène, et la différence entre l’ibuprofène et l’AAS1,2*.

AAS = acide acétylsalicylique* Il s’agissait d’une étude multicentrique menée avec insu dans des cliniques de médecine générale et évaluant, du point de vue des patients avec l’aide des médecins, le traitement par l’aspirine, l’acétaminophène (tous deux à une dose maximale de 3 g par jour) ou l’ibuprofène (à une dose maximale de 1,2 g par jour), administrés pendant au plus 7 jours pour soulager la douleur associée à des problèmes courants. Au total, 1108 omnipraticiens ont fourni des données relatives à 8677 adultes (2900 traités par l’AAS, 2886 traités par l’ibuprofène et 2888 traités par l’acétaminophène; le dossier de 3 patients ne précisait pas le produit reçu). Les principales indications étaient les douleurs musculo-squelettiques ou dorsales (48 %), le mal de gorge, le rhume et la grippe (31 %).

Graphique illustrant le profil de tolérabilité digestive

Lorsqu’il est utilisé selon les directives pour traiter la douleur aiguë, l’ibuprofène en vente libre est bien toléré1*

Au cours de l’étude PAIN, à laquelle ont participé plus de 8500 patients, les manifestations digestives (dont la dyspepsie) et la douleur abdominale ont été moins fréquentes avec l’ibuprofène (200 mg) qu’avec l’AAS (500 mg) ou l’acétaminophène (500 mg) (p < 0,035 dans tous les cas)1,2

Cet essai d’envergure à répartition aléatoire comparant des doses d’AAS, d’acétaminophène et d’ibuprofène en vente libre auprès de 8677 adultes a permis d’évaluer la fréquence des effets indésirables importants liés à la tolérabilité. Le paramètre d’évaluation principal était le nombre de patients ayant subi au moins un effet indésirable important, défini comme une manifestation grave, sévère ou modérée ayant nécessité une deuxième consultation d’un médecin ou l’arrêt du traitement, ou dont l’intensité n’était pas précisée. L’analyse statistique visait à déterminer l’équivalence entre l’ibuprofène et l’acétaminophène, et la différence entre l’ibuprofène et l’AAS1,2*.

AAS = acide acétylsalicylique* Il s’agissait d’une étude multicentrique menée avec insu dans des cliniques de médecine générale et évaluant, du point de vue des patients avec l’aide des médecins, le traitement par l’aspirine, le paracétamol (tous deux à une dose maximale de 3 g par jour) et l’ibuprofène (à une dose maximale de 1,2 g par jour), administrés pendant au plus 7 jours pour soulager la douleur associée à des problèmes courants. Au total, 1108 omnipraticiens ont fourni des données relatives à 8677 adultes (2900 traités par l’aspirine, 2886 traités par l’ibuprofène et 2888 traités par le paracétamol; le dossier de 3 patients ne précisait pas le produit reçu). Les principales indications étaient les douleurs musculo-squelettiques ou dorsales (48 %), le mal de gorge, le rhume et la grippe (31 %).

Relation dose-réponse relative au risque (rapport de cotes) de saignement gastro-intestinal haut avec différents AINS autres que l’aspirine

Relation dose-réponse relative au risque (rapport de cotes) de saignement gastro-intestinal haut avec différents AINS autres que l’aspirine

Le graphique ci-dessus illustre la relation dose-réponse relative au risque (rapport de cotes) de saignement gastro-intestinal haut avec différents AINS autres que l’aspirine.

Dans la méta-analyse, le rapport de cotes (RC) associé à l’ibuprofène à faible dose (< 1200 mg) était comparable à celui de l’acétaminophène et inférieur à celui des autres AINS. Même à des doses moyennes (1200 à 1799 mg), l’ibuprofène a affiché un RC (1,8) quant au risque de saignement gastro-intestinal haut grave plus faible que les autres AINS; venaient ensuite le diclofénac (3,2), le naproxène (5,4) et l’indométacine (6,8)3*.

La méta-analyse portait sur les données des patients individuels de trois études cas-témoins rétrospectives fondées sur des protocoles de collecte de données similaires; le critère d’évaluation principal était le risque associé à chacun des AINS autres que l’aspirine en fonction de la dose et de la durée du traitement.

AINS = anti-inflammatoire non stéroïdien; IC = intervalle de confiance* Les rapports de cote ont été calculés par rapport à la non-utilisation d’aspirine et de tout AINS autre que l’aspirine et corrigés pour tenir compte de l’utilisation d’aspirine, de l’utilisation d’anticoagulants, du tabagisme et des antécédents de troubles gastro-intestinaux hauts. L’ibuprofène a affiché le rapport de cotes le plus faible (RC = 1,7; IC à 95 % : 1,1 à 2,5), suivi du diclofénac [4,9; IC à 95 % : 3,3 à 7,1), de l’indométacine (6,0; IC à 95 % : 3,6 à 10,0), du naproxène (9,1; IC à 95 % : 6,0 à 13,7), du piroxicam (13,1; IC à 95 % : 7,9 à 21,8), du kétoprofène (34,9; IC à 95 % : 12,7 à 96,5). La méta-analyse portait sur les données recueillies dans des hôpitaux de la Catalogne, de l’Angleterre, de l’Écosse et de la Suède. Au total, 2472 cas de saignement gastro-intestinal haut et 5877 témoins ont été étudiés.

Efficacité éprouvée en clinique

Icônes de début d’action rapide et d’efficacité soutenue

Efficacité éprouvée en clinique pour soulager les céphalées

Selon les données recueillies par Christensen et al. sur l’ibuprofène à libération immédiate/prolongée dosé à 600 mg4,5* :

  • L’ibuprofène a commencé à agir rapidement pour atténuer la douleur, la proportion de patients ayant commencé à ressentir un soulagement (dès 25 à 30 minutes après la prise d’une dose) étant significativement plus élevée avec l’ibuprofène qu’avec le placebo (p < 0,001)
  • L’ibuprofène a procuré un soulagement de la douleur significativement plus important sur une période de 12 heures que le placebo (p < 0,001)

*Christensen et ses collaborateurs ont évalué l’efficacité et l’innocuité des caplets d’ibuprofène à libération immédiate/prolongée dosés à 600 mg et démontré que l’effet analgésique était obtenu rapidement et se maintenait pendant au moins 12 heures.

Icônes et encadrés présentant le soulagement procuré par Advil et son effet analgésique démontré

Effet analgésique et soulagement de la douleur causée par les céphalées éprouvés en clinique

L’efficacité d’Advil (doses de 200 mg et 400 mg) pour soulager les céphalées a été éprouvée en clinique1.

Journal of Clinical Pharmacology, 1996 (Schachtel BP, et al.)

  • Une étude à répartition aléatoire et à double insu comparant l’ibuprofène à 400 mg (n = 153) avec l’acétaminophène à 1000 mg (n = 151) et un placebo (n = 151) a révélé que l’ibuprofène est significativement plus efficace pour soulager la douleur causée par les céphalées que l’acétaminophène à 1000 mg et le placebo. Les sujets ayant reçu l’ibuprofène à 400 mg ont fait état d’une disparition significativement plus rapide de la douleur (1, 2, 3 ou 4 heures après la prise de la dose) que ceux ayant reçu l’acétaminophène à 1000 mg. Plus de trois fois plus de sujets ayant reçu l’ibuprofène à 400 mg que de sujets ayant reçu l’acétaminophène à 1000 mg ont affirmé ne plus ressentir de douleur 3 heures après la prise de la dose6*.

Headache, 1988 (Schachtel BP, et al.)

  • Les données d’une étude avec répartition aléatoire menée à double insu comparant l’ibuprofène à 400 mg (n = 35) avec un placebo démontrent que l’ibuprofène exerce un effet analgésique important se manifestant en moins de 30 minutes dans les cas de céphalée (n = 35)7†.

* 30 minutes et 1, 2, 3 et 4 heures après la prise d’une dose, tous les patients ont rempli les échelles d’évaluation de l’intensité de la douleur causée par la céphalée et du soulagement de la douleur causée par la céphalée. Soixante-dix sujets répondaient aux critères d’admission; il s’agissait d’hommes (21 dans le groupe de traitement et 15 dans le groupe placebo) et de femmes (15 dans le groupe de traitement et 20 dans le groupe placebo) dont l’âge moyen était d’environ 21 ans, à qui on avait demandé de consigner dans un journal toutes leurs céphalées de tension. Chaque fois qu’ils avaient mal à la tête, ils devaient prendre une seule dose du médicament à l’étude. Ils évaluaient ensuite l’efficacité du médicament 15, 30, 45, 60, 90 et 120 minutes après la prise de la dose.

Données/graphique comparant le nombre de sujets à traiter avec l’ibuprofène à 400 mg et avec un placebo

Efficacité éprouvée en clinique pour soulager la douleur causée par la migraine1,8

L’efficacité de l’ibuprofène à 400 mg pour soulager la douleur liée aux céphalées migraineuses et atténuer l’incapacité fonctionnelle connexe a été éprouvée en clinique8*.

Cochrane Database of Systematic Reviews, 2013 (Rabbie R et al.)

  • Les données issues de 9 études menées auprès de sujets ayant reçu un diagnostic de migraine et dont la plupart éprouvaient des symptômes de migraine depuis au moins 12 mois au moment de leur admission à l’étude ont été analysées.
  • La proportion des sujets ressentant un soulagement de la céphalée 2 heures après la prise d’une dose d’ibuprofène à 400 mg était de 57 %, comparativement à 25 % dans le cas des sujets sous placebo8†.
  • La proportion de sujets présentant une diminution de incapacité fonctionnelle associée à la céphalée 2 heures après la prise d’une dose d’ibuprofène à 400 mg était de 42 %, comparativement à 24 % dans le cas des sujets sous placebo8‡.

* Les sujets admis à l’étude avaient tous reçu un diagnostic de céphalées migraineuses selon les critères de l’International Headache Society. Ils étaient âgés en moyenne de 30 à 40 ans, selon l’étude.

Ibuprofène : 57 % (528/931; min.-max. : 41-72 %) des sujets; placebo : 25 % (224/884; min.-max. : 7-50 %) des sujets.

Ibuprofène : 42 % (245/583; min.-max. : 18-76 %) des sujets ont présenté une diminution de l’incapacité fonctionnelle 2 heures après la prise d’une dose d’ibuprofène à 400 mg. La proportion était de 24 % (129/531; min.-max. : 13-55 %) dans le cas des sujets ayant pris un placebo.

Comment Advil peut-il aider Hélène?

Patiente : Hélène

Advil 12 heures est idéal pour soulager les céphalées de tension d’Hélène

Hélène travaille de longues heures en tant qu’enseignante au secondaire; elle se décrit comme étant « stressée », mais dévouée à ses élèves. Elle ne veut pas s’absenter de l’école et souhaite trouver un moyen efficace qui agit rapidement et longtemps pour soulager ses maux de tête.

Advil 12 heures1 :

  • s’est révélé efficace pour soulager la douleur causée par les céphalées et la migraine
  • procure rapidement un effet analgésique qui persiste jusqu’à 12 heures

Le profil d’innocuité de l’ibuprofène en vente libre utilisé selon les directives est bien établi.

* Cas fictif

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Advil 12 heures

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La technologie à double couche d’Advil 12 heures procure un soulagement rapide et prolongé de la douleur aiguë1

Renseignements détaillés sur Advil 12 heures1

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